Par mes chemins écrits soufflant l’amertume tu as pu apprécier,
La délicatesse des termes avec lesquelles mes mots sont inspirés,
Laisse-moi dés a présent diriger ce flot de conscience sincère dans ton auguste sillage,
Au point de rupture du juste équilibre se crée ce mélodieux mariage,
L’alchimie parfaite d’un être au destin façonné de sacrifice personnel,
Au regard du futur, berceau du temps tu te projettes comme un modèle,
Ta bouche brulante au masque de marbre tu apparais princesse à l’invisible couronne,
Cette auréole d’aura sensuelle, se contourne vivante sur toi comme personne,
La réalité, c’est quand la conscience s’efface pour laisser court au messie,
Tes épaules plus droites que la ligne d’horizon je m’en vais les chercher dans mes rêves enfouis,
Je contemple sans honte l’immense l’affiche que tu partage avec toi-même,
Ce combat permanent contre la vie que tu entreprends enrichisse ce requiem,
Laisse-moi te guider en t’ouvrant les vannes de mes plus agréables pensées,
A t’inonder de vague incessante d’harmonie, t’apporter la douce félicité,
J’abandonne le regard rationnel je cesse de penser car aisément tu me désarme,
Car l’amour nait sans cesse, la bouche chante de nouvelles flammes,
Au combien de sacrifice tu à traversé pour mérité cette envergure,
Ces sols arides honteux auquel tu à rampé pour prétendre cette stature,
Avoué ta beauté a demi-mots est une hérésie dont tous nous avons peur,
Ta flagrance beauté humilie et fane la plus belle des fleurs,
Dans ce malheur incessant tu ne te plais pas a être une poupée de cheveux d’or sans cervelle,
Femme d’esprit tu est, et demeure face à l’eternel,
Acclamé par les uns bienveillant et hué par ces miséreuses de vanité,
Je te démontre par ma poésie l’idéal féminin que tu est,
Voici ce que mes écrits, ce que mes souvenirs révèle de ta personnalité,
Obligé par le divin a te les faire partager.